Repousses
J’ai beau essayer (mollement) de lutter contre ma tendance à photographier les choses mortes, décrépies et rouillées… en voilà encore une. Ca doit être une tendance lourde, toute résistance est futile.
J’ai beau essayer (mollement) de lutter contre ma tendance à photographier les choses mortes, décrépies et rouillées… en voilà encore une. Ca doit être une tendance lourde, toute résistance est futile.
Je sais, ça a un côté trop classique, comme une photo de déco pour Ikéa. Mais je n’ai pas pu m’en empêcher : on était là ( juste nous deux, nous aussi) sur le plateau au dessus du lac, et il y avait eux et ce nuage.
C’est très champêtre en ce moment, champêtre et forestier. C’est bête, mais du coup j’ai envie de villes nocturnes.
Accueil des urgences. Au bout d’un moment les choses s’émoussent. Par un phénomène de désensibilisation. Ça vaut sans doute mieux comme ça.
Bof, pas grand chose à dire, sans doute trop de choses à digérer. Ça sortira plus tard.
Les producteurs de lait protestent contre une baisse du prix du lait, généralisée dans toute l’Europe. En cause : la crise économique, la concurrence de l’Australie et de la Nouvelle Zélande. Les éleveurs manifestent devant les fromageries et les grandes surfaces et réclament une modification de la politique européenne.
Voir aussi :
Lait chinois contaminé
Le tonnerre se faisait entendre au loin, 20 minutes plus tard il était sur nos têtes.
J’ai besoin d’un reportage, un sujet qui vaille la peine. Ça me manque terriblement.
Je crois que j’ai une réponse partielle à mon constat d’hier (à tester) : prendre des photos numériques, mais en coupant l’écran. Et essayer de s’y tenir.
Le problème avec le numérique, c’est qu’on réfléchit à la photo une fois qu’elle est prise.
Cette réflexion me vient de différentes lectures, ainsi que du fait d’avoir regardé mes dernières planches contact (de l’année dernière) : le pourcentage de bonnes photos est tellement meilleur ! Il faut que je me retrouve un scanner qui marche. Et j’en ai marre des ciels cramés.